Retourner à Vichy sur les traces de mon premier Ironman, revenir sur les terres qui ont fait de toi une femme de fer, ça a forcément une saveur spéciale, sorte de Madeleine proustienne. Avec quand même une partie plus inédite puisque le circuit vélo a changé et nous réserve plus de dénivelé de quoi découvrir la région autrement et remplir sa tête de nouvelles images.
J’étais tombée sous le charme de cette ville la première fois et là j’ai pu apprécier les nouveaux embellissements effectués depuis 2016, notamment sur les rives de l’Allier de plus en plus attrayants pours les sportifs. La Ville met en place de plus en plus de parcours touristiques pour mettre en valeur les trésors de son patrimoine comme son Opéra ou encore les fameux chalets construits sous Napoléon III.
L’ambiance à Vichy est particulière à la fois marquée par la trace de Napoléon III et aussi par Pétain mais néanmoins si chaleureuse et accueillante.
Pour bien réussir un Ironman, il faut être bien dans sa tête, bien accompagné pour avoir un mental fort, trouver un endroit douillet pour se poser et reposer et enfin optimiser son hydratation avant, pendant et après. Et pour cette dernière partie, j’ai la chance de bénéficier d’un soutien au top grâce à l’eau de St Yorre et ses bénéfices. On vante souvent les mérites de cette eau en récup post effort mais il ne fait pas la négliger en mode préparation et aussi en ravito.
J’ai donc assuré la partie hébergement en trouvant un lieu plein de charme et d’authenticité si bien revisité et décoré par Sabine dans l’ancien hôtel du Parc, lieu de résidence de Pétain pendant l’Occupation. Si l’extérieur est resté dans son jus ainsi que les portes en bois donnant accès aux appartements, dès lors qu’on pénètre à l’intérieur de l’appartement tout un monde hors du temps s’ouvre à nous. Sabine a beaucoup de goût en matière de décoration et son époux étant architecte et céramiste, nus avons le privilège de pouvoir admirer ses œuvres Raku. Ci dessous le lien pour plus d'informations :
En 2016, j’avais emmené avec moi toute la famille, mon mari, mon beau père et ma mère. Cette année, c’est ma fidèle supportrice de cœur qui me suite dans cette aventure. Elle assure le rôle de soutien mais aussi de photographe reporter, sacrée mission car pas facile d’applaudir quand tu tiens le téléphone.
Dans le chemin qui mène vers l’IRONMAN, il y a des étapes incontournables comme celle d’aller chercher le dossard et se faufiler dans le village expo d’une part pour découvrir les exposants et plein d’idées de shopping, et aussi pour rencontrer les copains/copines qui partagent la même goût du triple effort. A peine entrée dans le village, je croise déjà Laetitia Bianconi une triathlète du Sud qui a fait l’Ironman de Nice en juin dernier et qui vient faire le Half à Vichy. Et hop c’est parti pour une bonne séance papotage.
Retirer son dossard, c’est aussi remercier les bénévoles et arbitres qui œuvrent pour prendre soin de nous et faire de cette course un souvenir inoubliable. A Vichy tout particulièrement, les bénévoles sont aux petits soins pour nous athlètes. Et parmi les bénévoles cette année il y a ma Juju, oui la Juliette IronDoll qui se reconnaît avec sa Poupée à savoir une petite chatte toute blanche qui se promène au bout de sa laisse. Un amour de bienveillance et de gentillesse. Elle ne peut que te faire aller de l'avant.
J'ai également envie de vous parler d'un bel exmeple de bénévole impliqué et surtout passionné. En fait, en 2016, nous avions été logés dans la maison de Yves et Sandrine qui pour la première fois se lancaient dnas l'aventure Air BNB. Et précisément Yves était bénévole pour l'Ironman de Vichy et il continue chaque année.
Nous avons reçu un accueil très chaleureux et nous avons sympathisé et fait la fête le soir après la course. C'est même Yves en personne qui m'avait remis ma médaille.
Cette rencontre et ce partage perdure encore aujourd'hui puisque j'ai eu le plaisir d'avoir les encouragements de Yves et Sandrine tout le long du parcours. Magique !
C'est aussi pour ces moments que j'aime vivre ce genre de défi.
Bon côté shopping, je n’ai pas trop craqué si ce n’est une paire de chaussettes KIWAMI toute colorée. En revanche, j’ai passé beaucoup de temps sur le stand de Saint Yorre mon partenaire sur cette course. Faire le plein de bouteilles et de conseils pour gérer au mieux ma course.
Précisément c’est de ça que je vais vous causer des bienfaits de boire St Yorre AVANT, PENDANT et APRES votre course.
LES BIENFAITS DE ST YORRE AVANT, PENDANT et APRES l'EFFORT
St Yorre est l'eau choisie par de nombreux sportifs pour s'hydrater et préparer au mieux les défis.
Elle est à ce titre intégrée dans les programmes d'hydratation des plus grandes équipes sportives comme le XV de France ou encore l'équpe cycliste Direct Energie. Présente également dans plus de 100 courses (trail, running, triathlon).
Pourquoi chosir St Yorre ? Pour 3 raisons :
1/ elle est riche en minéraux (4774 mgr/l)
2/c'est une eau sodique et le sel aide à fixer l'eau
3/ c'est une eau bicarbonatée qui tamponne l'acie lactique et évite cramps et courbatures (4gr/l bicarbonate de sodium)
AVANT l'EFFORT
Avant un effort, elle permet de constituer un stock de réserve pour favoriser la performance. sa richesse en minéraux est 4 fois plus élévées que la moyenne des eaux.
PENDANT l'EFFORT
Au delà d'une heure, l'eau seule ne suffit plus à hydrater correctement l'organisme. Les pertes en eau, calories et sodium grâce à la sudation sont très importantes. En règle générale, il est recommandé de boire 20cl toutes les 15 min pour éviter la surchauffe.
Choisir une eau bicarbonatée comme St Yorre aide à fixer l'eau et aussi lutter contre l'acidité gastrique et musculaire. Et l'on sait que l'acidité excessive est une des causes de fatigue musculaire et d'épuisement.
En 2016, boire St Yorre à chauqe ravito sur la partie marathon m'a permis de ne pas abandonner. La chaleur était excessive, j'avais des nausées, vomissements. Je ne pouvais plus rien avaler. Seule la St Yorre passait. Du coup, j'ai géré en ne buvant que ça jusqu'au bout et j'ai sauvé ma course. J'ai même fini dans un bon temps 11h47 au total.
Pour ceux qui se disent que c'est gênant de boire de l'eau gazeuse pendant un effort, qu'ils se rassurent le gaz carbonique des bulles ne reste pas dans l'estomac et si jamais vous n'aimez pas les bulles secouez la bouteille.
APRES L'EFFORT
L'eau de St Yorre permet de se réhydrater rapidement et de recharger le corps en minéraux et contribue ainsi à une meilleure récupération.
Fort de l'expérience de 2016, j'ai donc récidivé sur cette édition à boire St Yorre pendant les 3 jours avant la course. Puis à chaque ravito surtout en course à pied. et enfin les deux jours qui suivirent la compétition. J'ai pu reprendre une activité sportive rapidement car aucune douleurs. Pas de problème gastrique pendant la course non plus.
Alors je dis merci à St Yorre, ça va vraiment fort ! Et d'ailleurs, je l'utilise également quotidienement pour mieux gérer mes entraînements, après des séances difficiles par exemple. En fait, je l'ai complètement intégré dans mon quotidien.
Si vous avez l’habitude me lire, vous savez bien que je ne vous raconterai pas ce que vous pouvez lire dans tous les compte-rendu de course…Le lever à 4h, le caca de la peur, le stresse qui monte, le temps natation, le temps T1…les places grappillées qui à mon sens deviennent homogènes et insipides. En revanche, je vous parlerai bien plus des paysages, des rencontres, des émotions comme celle lorsque tu nages de voir le soleil se lever au ras de l’eau, ou de croiser le regard d'un autre athlète le temps d'un instant comme figé intimement complice dans la souffrance.
La nouveauté pour moi sur cette édition à relever est le changement du parcours cycliste. En effet, si les autres éditions offraient un parcours plutôt roulant, ce nouveau tracé est davantage tourné vers les reliefs de l’Allier, la Montagne Bourbonnaise. Selon le directeur de course, ce parcours colle davantage à l’image que les athlètes se font de l’Auvergne. Donc au programme de belles bosses comme la Côte de Busset au début, puis vers Cusset qui marque le passage des trois boucles où il règne une ambiance de dingue voire de folie.
J’ai beaucoup apprécié ce changement de décor même si je râlais de de voir le faire 3 fois…avec la chaleur au fur et à mesure des tours je surchauffais. Pour une fois, j’avais hâte de me retrouver à courir au bord de l’Allier et apprécier la fraîcheur des parcs.
En effet, le parcours course à pied me plaît beaucoup car il alterne certes des zones en plein cagnard mais des passages plus ombragés qui permettent de rafraîchir la machine. A chaque ravito même routine, une petite douche, un petit verre de Saint Yorre et parfois Coca, et une dernière petite douche pour la route et en avant mon kiki. ça repart.
J’ai adoré les nombreux groupes de supporters qui avaient investi dans une sono hyper motivante comme ACDC qui te redonne un sacré coup de boost.
Et puis une belle émotion en passant devant l’Opéra où avaient lieu une animation dansante, je m’amusais à regarder des pépé et mémé bras dessus bras dessous faire un pas de deux et chantonner.
Des ambiances contrastées qui évitent la monotonie et qui permettent au mental de se recharger en ondes positives Et que dire du passage à chaque tour près de la finish line avec ce public exalté. Tu ressors de l’arène gonflé à bloc.
La course à pied s’est bien déroulée même si je finis le dernier tour avec un mal de dos et j’arrive au finish en mode Quasimodo. Certes voutée, mais la tête fraîche, l’esprit serein et le big smile.
Il ne peut pas y avoir plus belle émotion de fin de course que celle-ci lorsque tu vois juste après l'arche ta maman t'attendre la médaille à la main, tu la sens déjà fébrile et émue, alors toi aussi tu craques et là se mêle le pleurs, les joies et les souvenirs. Tu sais pourquoi tu es là, pourquoi tu fais ça et pourquoi tu le referas. Ca permet non seulement de se dépasser mais d'apporter des émotions uniques. Je pensais qu'après en avoir déjà fait l'émotion n'était plus la même, mais elle est unique à chaque fois et a une saveur toute particulière en 2019 après ma mère et moi avoir perdu nos remparts.
Bravo à tous les participants pour leurs propres défis et combats. Notamment à Marie Rousset plus connu sous le nom de Marie Courir Maigrir sur les réseaux sociaux. En effet, en 2018, elle avait eu un problème sur la partie natation et avait du abandonner. Mais elle n'a pas lâché l'affaire et est revenue en 2019 et a réussi ce qu'elle voulait, elle a tenu bon même dans le dur.
Mention spéciale aussi à Isabelle et Solène Masson que j'ai eu la chance de croiser au bike in ou encore sur le parcours. Et surtout mille merci à vous tous derrière le tracker qui avez suivi la course, j'ai bien reçu vos good vibes.